Chers amis,
La Fondation Guérir du Cancer vient de publier un point d’activité, et certains d’entre vous m’ont demandé de vous en dire un peu plus. Je le fais bien volontiers.
Comme vous le savez, malgré tous les obstacles qui m’ont été opposés, j’ai voué ma vie à soigner le cancer. Avec tous ceux qui m’ont accordé leur confiance, nous avons pu progresser dans la connaissance du cancer et dans le combat contre cette maladie.
J’ai, bien sûr, une pensée toute particulière, et émue, pour ceux, si nombreux, qui nous ont quittés tôt trop, après avoir courageusement lutté, et avant de voir l’aboutissement de nos efforts.
Je pense aussi à vous tous, malades et proches de malades, pour lesquels et aux côtés desquels nous devons continuer à chercher sans relâche, à expérimenter, à approcher toujours plus près des traitements qui nous aideront, enfin, à reléguer cette maladie au rang des pathologies d’antan ou des affections pleinement curables, de celles dont on ne meurt plus, ou presque plus. Nous devons continuer le combat de toutes nos forces et de tout notre cœur.
C’est notamment pour nous aider à gagner ce combat que la Fondation « Guérir du Cancer » a été créée il y a quelques mois.
Cette Fondation, j’en suis convaincu, est une opportunité formidable pour développer des actions de plus grande portée que celles que nous avons pu mener jusqu’à présent. C’est pour cette raison que j’ai soutenu et accompagné cette démarche de Fondation, car je veux, dans l’intérêt de tous les malades, que nous puissions aller plus loin, beaucoup plus loin.
Cette Fondation a été créée en octobre 2019 par des personnes désintéressées qui, comme moi, poursuivent l’objectif de développer les traitements métaboliques contre le cancer ; par des personnes que je connais, et en qui j’ai toute confiance. Toutes les parties prenantes de la Fondation ont en commun de croire en nos recherches et de vouloir les faire aboutir conformément à son projet philanthropique que nous menons sous le contrôle de la Fondation de France, sous la direction indépendante d’un comité exécutif ainsi que sous la validation technique et éthique d’un comité scientifique.
Cette Fondation est, selon moi, essentielle pour l’avenir des recherches sur les traitements métaboliques que nous voulons faire aboutir. Notamment parce qu’elle peut subventionner tous types de démarches scientifiques utiles à notre approche métabolique, entre autres celles d’associations ou d’universités, quelle qu’en soit l’origine.
Mais je veux insister ici sur un point essentiel : cette Fondation ne pourra soutenir des projets que s’ils sont engagés avec toute la rigueur scientifique requise – ce que vérifie son comité scientifique -, et s’ils respectent les réglementations applicables, notamment en ce qui concerne les droits des malades, les essais, la protection des données personnelles, etc.
Et cette rigueur, j’y tiens tout particulièrement, car ce n’est que grâce à elle que les traitements métaboliques, dans lesquels nous plaçons tant d’espoir, pourront sortir de l’anonymat – voire de l’indifférence – dans lequel les défenseurs des traitements dits « conventionnels » veulent les maintenir envers et contre tout. Prouver avec les moyens et les règles de la science que nous avons trouvé, voilà tout l’enjeu !
La Fondation est récente, car elle n’a que 6 mois d’existence. Et pourtant, elle travaille activement, depuis le premier jour, sur des pistes des plus intéressantes.
Ces dernières semaines, je n’ai pas pu m’y consacrer totalement, car je me suis porté volontaire pour soigner les malades du Covid-19, ce qui explique que je n’aie guère eu la possibilité de communiquer auprès de vous, notamment dans un contexte largement perturbé par le confinement.
Mais j’entends revenir sur ce qui a été mis en route par la Fondation.
- Fin 2019, la Fondation a donné son accord de principe au financement de recherches relatives aux « inhibiteurs de l’enzyme SCOT ». Cette approche, comme un certain nombre d’entre vous le savent maintenant, vise à empêcher les cellules tumorales de se nourrir des cétones qui sont générés par le corps soumis à un régime cétogène. Dans la continuité d’un travail de recherche bibliographique réalisé et publié par le Professeur Maurice Israël, un protocole d’essais a été rédigé puis soumis à différents laboratoires. A ce jour, hélas, aucun d’entre eux n’a formulé de réponse permettant d’entreprendre les essais. Mais nous n’entendons pas renoncer, et les personnes en charge de ce dossier poursuivent leurs efforts pour aboutir le plus rapidement possible à un accord avec un laboratoire et à l’engagement d’essais ; des essais qui, pour être concluants, devront en tout état de cause respecter des protocoles très stricts et qui, par conséquent, risquent de prendre du temps.
- Début 2020, la Fondation a financé le lancement de recherches menées par le Professeur Mario Jolicoeur au sein du laboratoire de biochimie de Polytechnique Montréal sur le « Rétablissement d’un métabolisme basal chez les cellules cancéreuses par génération contrôlée d’oxygène singulet afin de favoriser leur apoptose». Son titre peut dérouter, mais cette étude s’intègre pleinement dans l’avancement de nos recherches. Elles doivent aboutir à une meilleure compréhension de la possibilité de stimulation de la respiration des cellules cancéreuses par la génération contrôlée d’oxygène mitochondrial. Est en jeu l’amélioration de la connaissance des mécanismes de combustion des sucres dans les cellules tumorales. Le succès de cette recherche pourrait donc permettre de belles avancées des traitements métaboliques du cancer.
- Parallèlement à ces recherches, des travaux ont montré qu’une vieille molécule comme le Bleu de Méthylène lève l’effet Warburg. Ce traitement s’accompagne d’un ralentissement de la croissance cellulaire. L’effet inhibiteur de croissance est d’autant plus puissant que le Bleu de Méthylène est administré avec de l’acide lipoïque. Ceci conforte l’addition du Bleu de Méthylène au traitement métabolique. Ce travail a été publié dans une revue internationale à comité de lecture.
- En outre, toujours au plan des traitements métaboliques, il m’apparaît impératif d’acquérir une meilleure connaissance de l’ensemble des approches thérapeutiques identifiables à travers des pratiques d’automédication.
L’université de Bordeaux, représentée par le Professeur Pascal Ragouet, a donc entrepris, avec le soutien de la Fondation, l’élaboration d’une étude observationnelle visant à identifier les meilleures pratiques d’automédication des malades du cancer.
Des questionnaires, déjà construits mais qui entreront bientôt en phase de test ainsi que de validation par des professionnels de santé et des juristes, seront envoyés à des malades, volontaires pour cette étude, afin d’identifier, en fonction des pathologies qui les affectent, quels sont les traitements qu’ils ont suivis, avec quels résultats, quels éventuels effets secondaires, etc. … Le tout, autant que possible, et s’ils le souhaitent, sous le contrôle de leur médecin traitant. Ces questionnaires seront envoyés ensuite 4 fois pour suivre l’état de ces malades.
Les résultats de cette étude devraient bénéficier aux malades du cancer et nous aider à progresser dans la connaissance des traitements métaboliques de façon beaucoup plus globale. Ce processus sera également beaucoup plus rapide que l’exécution de simples essais ponctuels, voire d’essais cliniques sur de nouveaux traitements bien trop lourds et coûteux à mener.
Cette étude prendra environ 1 an parce qu’elle est encadrée par des dispositions législatives et réglementaires nombreuses et strictes, et qu’elle exige, de la part de ses promoteurs, la plus grande rigueur scientifique. C’est sous ces conditions que ses résultats pourront présenter une valeur certaine vis-à-vis du monde médical puis, en conséquence, être reconnus et publiés. J’espère ainsi que vous toutes et tous pourrez partager plus librement vos pratiques d’automédication avec le corps médical.
Chers amis, je reste, plus que jamais, focalisé sur ma vocation de guérir du cancer. J’accepte bien volontiers toutes les collaborations, mais aussi toutes les confrontations d’idées de la part de mes collègues médecins et scientifiques du moment qu’elles sont menées dans un esprit constructif. A vous malades, nous devons d’avancer le plus vite possible pour éclairer la science au service de la lutte contre le cancer.
Je sais que certains d’entre vous contactent la Fondation pour trouver des médecins à consulter. Malheureusement, la Fondation n’a pas les moyens de réaliser ce travail d’intermédiaire ou de recommandation, et je ne peux moi-même vous aider à ce titre. Vous m’en voyez bien désolé.
Avec la Fondation, nous essayerons de publier le plus régulièrement possible un point de situation concernant tous les dossiers intéressants, pour faire part de nos travaux en cours, de nos difficultés mais aussi de nos succès.
Je nous souhaite, à toutes et tous, bon courage en cette période difficile, ainsi que de rester mobilisés dans cette lutte contre le cancer qui nous réunit depuis tant d’années.
Avec mon amitié,
Laurent Schwartz
Cher Docteur Schwartz,
Je vous écris le 4 mars 2021. Soit un peu plus de dix mois après votre communication du 24 avril 2020. Et un peu plus de quatre ans après votre appel du 13 février 2017 à vos confrères médecins.
Sans doute ne sais-je guère naviguer sur le site “guérir du cancer”, que je n’ai découvert que tout récemment, mais votre communication d’avril 2020 est ce que j’ai trouvé de plus récent ouvrant à commentaires, et je n’ai trouvé aucune suite à votre appel à confrères…
Comme d’autres commentateurs, je note que ni la toute jeune Fondation Guérir du cancer, ni vous-même n’êtes en mesure de nous orienter vers une liste de médecins gagnés à vos travaux et à votre protocole thérapeutique. Dois-je suspecter, comme c’est hélas trop fréquent dans le monde de la recherche en général, et de la recherche médicale en particulier, que donner des noms de confrères reviendrait à les mettre en danger par rapport aux institutions qui les “surplombent” (AP, Académie de médecine, ordre des médecins, etc.) ?
Suite à une biopsie de deux nodules dans un sein, un diagnostic de cancer m’a été annoncé. Stade 1 ; analyses de sang ne révélant pas de marqueurs du cancer ; excellent état général par ailleurs : j’ai 71 ans et pratique quotidiennement entre une heure et une heure et demie d’exercice physique. L’oncologue que j’ai consulté une première fois préconise une mastectomie avec extension aux ganglions axillaires. Précisant cependant que cela pouvait attendre. Ni chimio, ni radiothérapie dans l’immédiat. J’ai demandé à réfléchir.
J’avais lu attentivement votre ouvrage Cancer, un traitement simple et non toxique, et j’ai commencé depuis trois semaines, à prendre quotidiennement de l’hydroxycitrate et de l’acide alphalipoïque dans les dosages que vous indiquez. J’ai également continué à réduire drastiquement ma consommation de sucres, lents ou rapides. J’en consommais déjà très peu.
Mais je me sens bien seule dans ma démarche… J’ai si peu confiance dans mon généraliste, ou dans l’oncologue (chirurgien) que j’ai consulté que je n’ai pas parlé de votre thérapeutique. (On prête à Freud la réflexion que « même les paranoïaques ont de vrais ennemis » ; cela continue de me faire sourire, mais cela ne m’aide pas…)
Comment faire pour trouver dans ma région un médecin ouvert à vos travaux et à vos recherches ?
je découvre ce site et la fondation , tout comme le professeur Schwartz; mon fils est atteint d’un gliome de bas grade péré largemenrt en fevrier 2016; aujourd’hui,récidive et réopération en xchirurgie éveillée à la fin du moius; ce ne peutr etre une solution; l’exerèes ,meme sub totale, ne guerit pas; pour tuer la tumeur,il faut créer le contexte metabollique adequat; et c’est ce qui m’interesse dans l’approche du dr Schwaertz; mon fils est dejà sous traitement d’huoiles essentielles du dr Anne marie Giraud de Marseille, qui obtiernt de bons résultats sur les millers de cancers qu’elle a accompagné, et meme quelquzefois ,fait disparaitre; il faut plus que jamais rassembler toutes ces therapeurtiques alternatives sans lesquellse, on ne se débarassera pas des cancers; les médecins, meme specialistes, ne sont pas formés, ni ne s’informent sur la nutritherapi, l’accompagnement psycho tel la méditation; ils prennent tout celà pour de la foutaise; où peut on touver « un annuaire » de ces méthodes complémenataies /integratives/ alternatives ? quelqu’un en a-t-il connaissance?
deuxième question: sur ce site ,on ne voit pas du tout comment prendre RDV avec le professeur Schwartz; quelqu’un peut-il me renseigner?
merci à tous
Bonjour
Je me permet de laisser ce message car j aimerai pouvoir consulter le dr Schwarzenegger Laurent car je suis atteinte d un cancer pulmonaire métastatique
Consulte t il ?
Et où ?
S’il vous plaît
Merci
Le Docteur s’appelle Laurent Schwartz !
Oui pardon erreur de frappe
Bonjour
Pourriez vous m indiquer si Il était possible de prendre rdv avec le Dr Schwartz Laurent ?
Ou consulte t il ?
Cordialement
Faites-moi savoir vos expérience avec médecine métabolique. Il y a tellement de molécules suggérées. Quelles sont les 3-4 que je peux essayer, les plus prometteuses svp. Je suis au Canada 🙂
D’une famille touchée de longue date par le cancer mon grand espoir est de voir cette maladie reléguée « … au rang des pathologies d’antan ou des affections pleinement curables, de celles dont on ne meurt plus, ou presque plus » [LS].
Les projets diligentés par la Fondation Guérir du Cancer me semblent en mesure de nous rapprocher un peu plus de cet objectif et ainsi de participer in fine à la normalisation des soins. Sans cette normalisation très peu de médecins accepteront de déroger à la règle et d’accompagner les patients dans leur choix d’un traitement métabolique en plus ou à la place du traitement standard.
En attendant, un soutien total au docteur Laurent Schwartz pour sa recherche scientifique rigoureuse.
bonjour
L.Schwartz serait d autant plus crédible qu’il mentionnerait au moins en passant le protocole de prévention du cancer VALIDE PAR L INSERM en 73, du génial docteur Gernez .
Bonjour Dr Schwartz,
Je rejoins un commentaire déjà formulé: en effet il est très difficile quand on est atteint (e) d’un cancer de trouver un interlocuteur avec qui pourvoir avancer sur les choix ou possibilité de traitements. Les oncologues « classiques » ne sont pas informés ou réticents et aller à la pêche aux informations sur le net est particulièrement déprimant car on tombe sur toutes sortes d’informations dont il est difficile de savoir à quel point elles sont fiables ou non. Ce qui fait que l’on fait le choix d’essayer le métabloc plutôt que la chimio préconisée (dans mon cas) on est totalement seuls. pour que la médecine métabolique puisse avancer et progresser, il fait qu’il puisse y avoir une interaction patient-soignant.
Bien à vous
Merci, Dr Schwartz, pour ces informations, alors même que vous êtes très occupé.
Félicitations pour votre dévouement et tout ce que vous faites pour faire progresser la lutte contre le cancer.
Mr Schwartz
Nous savons bien déjà combien vous avez travaillé et travaillez encore et sans cesse pour trouver un remède pour guérir ceux qui souffrent et meurent de cette maladie . Merci mille fois !!!
Mais je vous en prie, ne l’écrivez plus dans vos communications, ça prend de la place, ca n’est pas très utile et ce n’est pas très bon en terme de simplicité et d’humilité !
Je dis cela car dans votre communication, on voit apparaître vers la fin, un problème SUPER important, que vous n’osez pas affronter et sur lequel vous devriez vous pencher, ouvrir un vrai dialogue franc avec votre public, et qui consiste en ceci :
Ceux qui souffrent du cancer cherchent à consulter des MEDECINS et être suivis pour se sentir ecoutés, soignés, suivis, considérés, ne pas se sentir seuls et ça fait des années qu’ils ne trouvent personnes.
Vous dites : » ils se tournent vers la fondation … » … qui ne peut rien pour eux, ils se tournent vers vous, … Vous ne pouvez rien pour eux en ce qui concerne leur vrai problème qui n’est plus alors le Cancer, mais qui relève essentiellement du LIEN humain de ce celui qui est dans le besoin et celui qui peut le rencontrer et le soutenir humainement !!!(médicalement s’entend !)
Alors je vous en prie, car vous savez depuis longtemps que c’est un des problèmes Majeurs de la médecine métabolique, je vous prie de lettre toutes vos forces et tout votre coeur comme vous le dites, pour enfin prendre en compte ce problème, le mettre à l’ordre du jour pour l’année 2020 comme problème central à résoudre (c’est plus important à mon avis que le traitement lui même !), et n’avoir de cesse que de tout mettre en œuvre pour trouver une solution ! même si j’ai bien conscience que c’est très difficile !
Contacter des MEDECINS avec le soutien de la fondation ou de tout autre soutien, les former comme ils se forment à la phytothérapie ou l’homéopathie, créer des liens d’intérêt avec eux pour que dans toute la France fleurissent des mains tendues et connaissantes vers des personnes qui se sentent seules et sans recours et sans secours,
Amicalement et avec toute ma considération reconnaissante.
Merci Laurent pour tout ce que tu fais !
Tu es un homme sincère, intègre et honnête !
Daniel le savait et avait beaucoup de respect pour toi.
Si tu as besoin de quoique ce soit que je puisse faire pour t’aider, n’hésite pas.
Je t’embrasse
Coco