Cet article relate une expérience personnelle, il ne doit en aucun cas être pris comme exemple, sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent.

Jean François MOREL
29/01/1944
Région Lyonnaise
le 2 mars 2017

Cancer du péritoine à point de départ vésiculaire

Fin avril 2016, suite à un mois d’investigations (échographie, scanner, Coloscopie, etc), on m’a diagnostiqué un cancer du péritoine à point de départ vésiculaire. Je suis arrivé à la clinique pour une cœlioscopie en ambulatoire et j’y suis resté 3 semaines (occlusion intestinale).

On m’a annoncé un cancer très avancé et agressif avec une espérance de vie assez limitée.

Une première chimio (gemzar et cisplatine) a été très vite mise en place (15 jours après le diagnostic).

J’ai tout de suite commencé, la veille de cette chimio, à prendre des produits pour pallier aux effets secondaires. C’est à dire : du desmodium, de l’aloé vera (remplacé par de l’aloé arborescent plus tard) et de la propolis et plus tard des probiotiques

Étant bien incapable de prendre des décisions, ma femme et mes enfants ont fait des recherches sur d’éventuels protocoles alternatifs, sur l’avancée des recherches hors cadre conventionnel.

Nous avons eu connaissance des travaux du Docteur Schwartz par une amie de mes filles, dont le père est médecin généraliste à la retraite. Ce dernier nous a affirmé que s’il se trouvait dans mon cas, il irait voir le docteur Schwartz les « yeux fermés »….Cette piste a donc été privilégiée et approfondie.

J’ai pris contact avec ce chercheur et débuté très vite son protocole (le métabloc : hydroxycitrate et sodium R-lipoate). J’ai également adopté un régime alimentaire sans gluten, avec des jus verts, limitant l’apport en glucides et surtout sans sucre.

Nous nous sommes rencontrés à Lyon le 30 mai… sa simplicité, son humilité face à la maladie et à ses recherches, sa bienveillance ont fait de cet échange un moment très fort pour moi. Il m’a permis de devenir acteur à part entière dans ce parcours face à la maladie. J’ai compris que j’avais mon rôle à jouer et que j’en étais l’acteur principal.

Très rapidement, à partir du mois de juin, mon état général s’est vraiment amélioré, questionnant ainsi le personnel médical qui me suivait…

J’ai donc suivi le protocole de chimio et le métabloc en parallèle et, en juillet, après 8 chimios, il y a eu un bilan plutôt positif :  le cancer n’avait pas évolué et ne s’était donc pas propagé. Mon oncologue a été assez étonné et a mis cela sur le compte uniquement de la chimio. Je lui ai donc parlé sérieusement du docteur Schwartz.

Jusqu’alors, tout ce qui n’était pas chimio ou parcours conventionnel, était qualifié de charlatanisme…et ne parlons pas du régime alimentaire…. !

Aberration d’ailleurs de ne pas intégrer dans le protocole un arrêt des aliments sucrés quand on sait que les cellules cancéreuses sont détectées au glucose radioactif (PET Scan)…. Et on trouve des pâtes de fruit sur le plateau repas de l’hôpital… !

Suite à ce bilan, après beaucoup d’insistance de ma part, mon oncologue a accepté d’échanger avec le docteur Schwartz sur la suite du protocole.

J’ai donc repris une chimio allégée en cisplatine, jusqu’au nouveau bilan fin novembre après 16 chimios. Bilan encore très positif : stabilisation, voire légère régression… !

Donc, depuis le début du mois de janvier 2017 je suis un protocole de chimio sans cisplatine en continuant le métabloc, les produits pour limiter les effets secondaires et le régime alimentaire.

Mon état général est relativement bon, j’ai une qualité de vie qui n’était pas vraiment prévue par le corps médical…

Je suis persuadé que le métabloc du docteur Schwartz joue un grand rôle dans cette évolution.

Des essais cliniques sont vraiment nécessaires…il faut absolument donner les moyens au docteur Schwartz et à son équipe de valider et approfondir leurs recherches.

J’ai été très surpris par le comportement du corps médical en général et par son absence d’ouverture et de curiosité scientifique. Pour eux, seule la chimio est légitime dans cette lutte. Or il est démontré que celle-ci n’est pas encore la solution pour guérir le cancer et qu’elle peut être très dévastatrice, mais néanmoins nécessaire.

A quand les essais cliniques… ?

Jean François MOREL