Cet article relate une expérience personnelle, il ne doit en aucun cas être pris comme exemple, sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent.

Ma femme, Rachel, souffrait d’un mal de tête et de fatigue considérable. Les résultats des analyses étaient normaux, jusqu’au jour où je l’ai emmené aux urgences et là , nous avons découvert une tumeur au cerveau, qui s’est avérée être un glioblastome.

Elle a été opérée, a suivi des séances de radiothérapie et de chimiothérapie (Temodal) pendant 45 jours, puis la même chimio en dose plus élevée, mais ça n’a rien donné, et elle a récidivé.

C’est en faisant des recherches que j’ai eu la chance de rencontrer le Docteur Laurent Schwartz, qui nous a expliqué sa méthode et nous avons décidé de l’adopter, parallèlement aux protocoles réglementaires.

Elle reçoit aujourd’hui un traitement à base d’Avastin (Bevacizumab), un médicament qui empêche la formation de vaisseaux sanguins autour de la tumeur + hydroxycitrate et acide lipoïque prescrits par le Docteur Schwartz + un régime cétogène (ce qui m’a personnellement convaincu, c’est la logique de cette approche : une tumeur ne peut pas survivre et se développer si on empêche le sang d’arriver à la tumeur, si on la prive de sucre, l’aliment de base des mitochondries tumorales, et si on change l’environnement acide de la tumeur en un environnement basique). Depuis le début de ce traitement, 5 mois ont passé. Elle a fait 2 IRM : Le premier a montré une très nette rémission de la tumeur et de l’œdème et le deuxième une rémission plus petite. Le professeur qui la traite est enchanté des résultats.

14 mois ont passé depuis la découverte de ce glioblastome. Malgré tous les pronostics, elle se porte comme un charme, elle marche, lit, mange et profite pleinement de la vie. Nous avons fait 3 voyages en Europe durant les 3 derniers mois.

La seule chose que je regrette amèrement, c’est qu’on ne puisse pas sauver plus de vies à cause de la rigidité de nos systèmes médicaux qui continuent à refuser de reconnaître les réussites du protocole du Docteur Schwartz.

Henri Levy